Mis à jour le 25 novembre 2025
Qu’est-ce qu’un coupeur de feu ?
Une pratique ancestrale encore bien vivante
Le terme coupeur de feu désigne une personne capable de soulager une brûlure — qu’elle soit due à un accident, à une maladie ou à un traitement médical — simplement par la parole. Ce soulagement ne passe ni par un contact physique ni par un médicament : tout se joue dans l’intention, dans les mots prononcés, parfois dans le silence.
Il ne s’agit pas d’une invention moderne. Cette pratique énergétique est présente dans de nombreuses régions de France, de la Suisse à la Bretagne. Elle fait partie de ces savoirs populaires transmis de génération en génération, souvent à voix basse, parfois sur le lit de mort. On parle alors de secret de coupeur de feu : une prière courte, une formule sacrée que la personne récite pour « éteindre » la douleur de la brûlure. Ce secret est toujours protégé, transmis à une seule personne à la fois, et jamais divulgué en public.
Le feu dont on parle : brûlures, zona, radiothérapie…
Le mot feu désigne ici une douleur intense, souvent décrite comme une sensation de brûlure dans le corps. Cela peut concerner une flamme réelle (fer à repasser, liquide brûlant, feu de cuisine), mais aussi un zona, une piqûre d’insecte, ou les effets secondaires de la radiothérapie. Tout ce qui « chauffe » au point de faire mal entre dans le champ d’action du coupeur.
Dans les cas les plus fréquents, la personne souffrante ou un proche contacte le coupeur de feu à distance, souvent par téléphone. Il suffit de donner le prénom, la nature de la brûlure, et parfois l’heure de l’accident. Le coupeur agit ensuite seul, récitant sa prière de guérison dans le calme. Ce qui frappe souvent, c’est la rapidité du soulagement. La douleur de la brûlure s’apaise, la sensation de feu s’éteint.
Le pouvoir des mots et du silence
L’acte du coupeur de feu ne repose pas sur une technique observable. Il s’inscrit dans un rapport intime au sacré, au soin énergétique, au mystère. La prière du coupeur de feu est dite secrète, non seulement parce qu’elle ne se partage qu’oralement, mais aussi parce qu’elle s’inscrit dans une tradition du silence.
Ce qui compte, c’est moins la formule que l’intention. La présence intérieure, la confiance, l’écoute silencieuse : voilà ce qui donne de la force aux mots. C’est cette alliance de foi et d’attention qui fait du coupeur de feu un guérisseur invisible, mais souvent très sollicité.
Coupeurs de feu et panseurs de secrets
Comment agit un coupeur de feu ?
L’énergie, la foi, l’intention
La question revient souvent : comment une personne, parfois à des centaines de kilomètres, peut-elle soulager une brûlure sans jamais toucher la peau ? Pour comprendre, il faut sortir du cadre strictement matériel. Le coupeur de feu n’agit pas avec ses mains, mais avec une intention claire, une prière, et ce que beaucoup appellent une énergie de guérison.
Certains parlent de magnétisme, d’autres de don spirituel, d’autres encore d’effet placebo. Mais quelle que soit l’explication qu’on y met, les résultats sont parfois là, visibles, tangibles. La foi joue un rôle, mais c’est surtout celle du coupeur lui-même, sa concentration, son alignement intérieur.
À distance ou en présence : les deux fonctionnent
Un coupeur de feu à distance peut être aussi efficace qu’en face à face. Le coupeur écoute, note les informations nécessaires, puis agit dans le calme, souvent sans même rappeler. Ce fonctionnement à distance étonne, mais il est banal dans cet univers. Ce n’est pas la voix qui soigne, ni le contact physique, mais le secret du coupeur de feu et la manière dont il est porté.
Effets constatés : apaisement, disparition, mystère
Les témoignages sont nombreux et se ressemblent : le feu est coupé, la douleur s’apaise, parfois la peau guérit plus vite. Les médecins eux-mêmes, sans toujours le dire ouvertement, constatent que certaines brûlures évoluent mieux après l’appel d’un barreur de feu (terme synonyme de coupeur). Personne ne peut expliquer avec certitude le phénomène. Mais ceux qui le vivent n’ont pas besoin de théorie.
Qui fait appel à un coupeur de feu ?
Enfants brûlés, malades sous chimio, grands brûlés…
La demande d’un coupeur de feu peut venir de n’importe qui, à n’importe quel moment. Un enfant qui se renverse de l’eau bouillante sur la jambe, une personne âgée souffrant d’un zona, un patient brûlé par les rayons de la radiothérapie… C’est souvent dans l’urgence que le nom d’un barreur de feu circule.
Dans certaines régions, les coupeurs de feu sont connus localement. Leur numéro circule sous le manteau, entre voisins, ou même transmis discrètement par certains professionnels de santé.
Les hôpitaux : plus qu’on ne croit
Même si cela n’apparaît dans aucun protocole officiel, plusieurs services hospitaliers travaillent avec des coupeurs de feu à distance. C’est particulièrement vrai en oncologie, où les brûlures liées à la radiothérapie sont fréquentes. Ce n’est jamais écrit, mais souvent toléré. Pour les équipes soignantes, tant que le geste n’interfère pas avec le traitement, il est accueilli comme un appui complémentaire à la médecine.
Quand la médecine atteint ses limites
Beaucoup de personnes font appel à un coupeur de feu quand elles sentent qu’il n’y a plus d’autre solution. Ce recours ne remplace pas un traitement, mais il offre un souffle, un apaisement. Il y a dans cette démarche un geste d’humilité : reconnaître qu’il existe des formes de soin qui ne passent ni par la chimie ni par la technique. Ce n’est pas une quête spirituelle, c’est un appel au secours.
Qui sont les coupeurs de feu ?
Des personnes ordinaires, souvent discrètes
Le coupeur de feu n’a pas de profil type et la plupart n’en parlent presque jamais. Ils ne cherchent ni reconnaissance ni clientèle. Leur pratique se fait dans la discrétion, sans publicité, sans enseigne. Leur don de guérison est un service qu’ils rendent, et qu’ils vivent comme une responsabilité silencieuse.
Don inné ou appris ?
Beaucoup de coupeurs de feu disent avoir reçu leur don dans l’enfance, par un proche, au détour d’une phrase. Ce secret se transmet oralement, souvent une seule fois, de manière précise. D’autres l’ont appris plus tard, en demandant consciemment à recevoir ce savoir. Ce qui compte, ce n’est pas d’avoir reçu un pouvoir, mais d’en prendre soin, de l’utiliser avec respect. On parle parfois de don barreur de feu, mais il s’agit plutôt d’un canal, d’une disponibilité intérieure.
Une posture intérieure avant tout
Être coupeur de feu, ce n’est pas seulement réciter une prière. C’est une manière d’être : attentif, centré, humble. C’est savoir se rendre disponible, sans vouloir « sauver », mais simplement soulager. Beaucoup décrivent cette posture comme une forme de prière active, un moment où l’on se met au service. Ce qui les relie tous, c’est une forme de cohérence intérieure.
Peut-on payer un coupeur de feu ?
La gratuité comme principe
Dans la très grande majorité des cas, un coupeur de feu refuse d’être payé. La pratique est perçue comme un don, pas comme un service commercial. Le principe de gratuité du coupeur de feu est central. C’est lui qui permet à la pratique de rester un acte désintéressé, sans attente.
Don libre ou échange symbolique
Cela ne veut pas dire que l’on ne donne jamais rien. Il est courant d’offrir une boîte de chocolats, une fleur, ou un mot de remerciement. Certains déposent discrètement un petit billet. Mais cela ne change rien : le barreur de feu n’attend rien, ne demande rien. L’échange doit rester symbolique : un fruit, un objet, un petit service. Pas un prix.
Le danger des charlatans
Parce que la pratique est invisible et mystérieuse, elle attire aussi des personnes mal intentionnées. Méfiance envers ceux qui se proclament coupeurs de feu professionnels ou proposent des consultations tarifées. Un vrai coupeur de feu ne fait jamais de publicité et ne cherche ni pouvoir, ni reconnaissance. Sa sincérité se reconnaît à son humilité.
Comment devenir coupeur de feu ?
Recevoir ou apprendre une prière
Pour devenir coupeur de feu, il faut d’abord recevoir ce que l’on appelle le secret. Il s’agit d’une prière de guérison, courte, transmise oralement, souvent dans un moment particulier. La parole sacrée est confiée, pas enseignée. On peut aussi demander à apprendre, avec humilité. Certains barreurs de feu acceptent de transmettre leur prière à une personne de confiance.
Développer son ancrage et sa présence
Connaître la prière du coupeur de feu ne suffit pas. Il faut aussi apprendre à l’habiter. Cela demande une forme de calme intérieur, de disponibilité, de foi. Ce n’est pas une formule magique : c’est un lien entre une parole, une présence, et une douleur que l’on veut apaiser. C’est un travail intérieur, invisible, mais essentiel.
Écouter, soulager, disparaître
Le rôle du coupeur de feu n’est pas d’apparaître, mais d’agir puis de se retirer. Il écoute, puis laisse faire. Devenir barreur de feu, ce n’est pas choisir un métier, c’est recevoir une charge. C’est accepter de répondre à l’appel, sans rien attendre.
Ai-je le don de coupeur de feu ? Comment le reconnaître en soi
Il ne s’agit pas d’un pouvoir spectaculaire
Avoir le don de coupeur de feu n’est pas posséder une capacité rare ou magique. Ceux qui le portent décrivent plutôt une disponibilité intérieure, une sensibilité au monde invisible. Ce qui s’impose, c’est un appel discret : une intuition, une confiance tranquille, une envie profonde de soulager la douleur.
Des signes discrets mais parlants
Certaines personnes découvrent ce don après avoir récité, presque par hasard, une prière de guérison pour un proche. D’autres sentent, dès l’enfance, une proximité avec la souffrance physique. Voici quelques signes évoqués par des barreurs de feu :
Le besoin récurrent d’apaiser, d’être présent quand l’autre souffre.
Une parole qui calme, un contact ou une présence qui réchauffe.
Une intuition forte : on « sait » quoi faire ou quoi dire.
Un lien familial flou mais réel : un aïeul connu pour « couper le feu ».
Ce don se révèle dans l’action, pas dans l’idée
Aucune liste de signes ne remplace l’expérience. Ce sont souvent les circonstances qui révèlent la capacité : un proche brûlé, une demande inattendue. On tente une parole, un silence, une prière. Et la personne va mieux. Le feu se calme. Être coupeur de feu, ce n’est pas avoir un pouvoir. C’est répondre à un appel.
Prières de coupeur de feu : pourquoi certaines sont connues, et que valent-elles ?
Des prières traditionnellement gardées secrètes
Les prières des coupeurs de feu sont, par essence, secrètes. Elles sont transmises de vive voix, à une seule personne. Le respect de ce secret est une marque de sérieux. Pourtant, certaines ont fini par être rendues publiques, notées dans des carnets anciens ou transmises à des chercheurs.
Des formules qui ont traversé les générations
Des prières existent, dont certaines sont d’inspiration chrétienne :
« Feu, cesse ton ardeur, comme Judas trahit Notre Seigneur. Feu, rentre dans l’eau, comme le Christ dans son tombeau. Que la douleur s’en aille, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. »
D’autres sont plus neutres et brèves :
« Le feu s’en va, la peau se ferme, la douleur se tait. »
Ont-elles perdu leur force si elles sont connues ?
Pour de nombreux coupeurs de feu, la réponse est claire : ce n’est pas la prière seule qui agit, mais la personne qui la porte. Autrement dit, lire ou prononcer ces formules sans être dans la bonne disposition ne produit rien. Le secret du coupeur de feu, c’est le lien intime entre la personne, la prière, et la demande, ainsi que la foi, la concentration et l’humilité.

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Questions fréquentes sur les coupeurs de feu
Un coupeur de feu peut-il agir sur les animaux ?
Oui. Il arrive qu’on fasse appel à un coupeur de feu pour des animaux (chien, chat, cheval) après une brûlure ou une inflammation. Le fonctionnement est le même : le nom de l’animal, son âge, les symptômes, et le coupeur agit.
Est-ce que plusieurs coupeurs peuvent agir en même temps ?
C’est déconseillé. Les barreurs de feu expérimentés considèrent qu’une seule personne doit agir à la fois pour ne pas brouiller l’intention.
Y a-t-il des jours ou des heures meilleurs pour couper le feu ?
Certains coupeurs de feu traditionnels préfèrent agir à des heures calmes (matin tôt ou soir tard). D’autres disent que cela n’a pas d’importance : c’est la disponibilité intérieure qui compte.
Que ressent le coupeur pendant l’acte ?
Les réponses varient. Certains ressentent une chaleur dans les mains, un frisson, ou une fatigue passagère. D’autres ne sentent rien de particulier mais perçoivent un moment de bascule, comme si la brûlure « partait ».
Peut-on apprendre à couper le feu sans être croyant ?
Oui. La foi religieuse n’est pas obligatoire. Ce qui compte, c’est la sincérité de la démarche et la capacité à se centrer.
Est-ce que cela fonctionne sur les brûlures anciennes ?
Les brûlures anciennes, déjà cicatrisées, ne répondent pas toujours. Le coupeur de feu agit surtout sur la douleur encore active, le « feu » encore présent.
Existe-t-il des livres ou des formations sérieuses ?
Il existe quelques livres de témoignages, mais très peu de formations fiables. La majorité des coupeurs de feu authentiques considèrent que cela ne s’apprend pas dans un cadre commercial. Le vrai secret de barreur de feu se transmet toujours dans une relation humaine.




